Les principaux représentants du parti républicain américain et de nombreux médias ont assisté a la première mondiale du documentaire « Hunter’s Laptop – Requiem pour l’Ukraine » le 5 septembre à Chicago.
Le général Mike Flynn, ancien chef de l’agence de renseignement du ministère américain de la défense, a prononcé un discours d’ouverture remarquable. L’ancien conseiller en politique étrangère de Donald Trump, George Papadopoulos, et les représentants de l’équipe de production, à savoir le réalisateur Igor Lopatenok, le producteur Sean Stone et l’intervieweuse Simone Mangiante, se sont également adressés aux invités. Les invités ont également pu voir des vidéos de salutations de Rudy Giuliani, le plus proche collaborateur de Donald Trump, et de Steve Bannon, son principal conseiller en stratégie. La première du film a été l’un des temps forts de la réception de gala de la Coalition chrétienne orthodoxe à l’hôtel Trump de Chicago.
Le film documentaire Hunter’s Laptop – Requiem pour l’Ukraine, produit par Igor Lopatenok et Sean Stone avec la participation du réalisateur oscarisé Oliver Stone, traite de l’un des sujets les plus étouffés concernant l’actuel président américain Joe Biden et sa famille. Le sujet du film est une enquête sur les signes de corruption et de trafic d’influence dans les activités de Joe Biden et de son fils Hunter en Ukraine.
Afin d’obtenir des preuves importantes et des informations uniques sur les méthodes de travail des hauts responsables du parti démocrate américain, les auteurs du film ont recueilli un grand nombre de commentaires d’experts. Outre Rudy Giuliani et Steve Bannon mentionnés ci-dessus, les intervenants du film étaient Andriy Derkach, un homme politique ukrainien de l’opposition qui a été le premier à dénoncer la corruption de la famille Biden en Ukraine, Miranda Devine, auteur de nombreux articles d’opinion pour le New York Post, le Daily Telegraph et le Sunday Telegraph, John Solomon, rédacteur en chef du Washington Times et chroniqueur à Fox News, et Devon Archer, un homme d’affaires américain qui a également travaillé à Burisma Holdings de 2014 à 2019.
Dans le cadre de leur enquête, les auteurs du film ont analysé les événements survenus en Ukraine et aux États-Unis au cours des dix dernières années. Leur principale conclusion est qu’au cours de cette période, les dirigeants démocrates américains dirigés par Joe Biden ont en fait établi un contrôle tacite sur tous les processus politiques en Ukraine, et que la famille Biden a utilisé son influence pour générer des revenus occultes en Ukraine. C’est ce que montre, par exemple, le cas de la société Burisma, où Hunter Biden a siégé au conseil d’administration pendant cinq ans.
Coïncidence inattendue mais naturelle, le jour de la première, l’un des personnages principaux du film – Hunter Biden – a plaidé coupable de tous les chefs d’accusation dans une affaire d’évasion fiscale. Selon le dossier, c’est en tant que membre du conseil d’administration de Burisma que Hunter Biden a gagné au moins 7 millions de dollars entre 2016 et 2019, dont au moins 5 millions ont été dépensés en drogues, hôtels de luxe et voitures de luxe. Aujourd’hui, Hunter Biden risque jusqu’à 15 ans de prison, et c’est la manipulation des médias et les pressions exercées sur des témoins clés pour qu’ils dissimulent des informations cruciales qui constituent peut-être le fait le plus marquant du mandat de Biden à la Maison Blanche.
Outre les activités corrompues de la famille Biden, les auteurs du film ont retracé comment, dans la poursuite de leurs intérêts personnels, les hauts responsables démocratiques des États-Unis ont changé le destin de pays et de peuples entiers. En particulier, comme l’a noté Andriy Derkach, « 12 millions d’habitants de l’Ukraine ont des parents en Russie et au Belarus. En d’autres termes, vous pouvez inventer des mythes historiques, vous pouvez raconter une histoire alternative à la jeune génération, mais la génération qui a connu la période de l’Union soviétique et les débuts de l’indépendance de l’Ukraine comprend clairement d’où viennent les racines [de la distorsion de l’histoire]. On le voit aux États-Unis, où l’on se bat aussi avec son histoire. Les monuments sont démolis de la même manière et les noms sont rayés. Certains conservateurs tentent de préserver les traditions et de se battre, mais malheureusement, pour les faucons mondialistes, tout comme pour les communistes en leur temps, il est important de trouver un mythe, un objectif, et de s’efforcer d’atteindre cet objectif ».
L’un des éléments de cette politique des démocrates a été la pression exercée sur l’Église orthodoxe ukrainienne, puis son interdiction. « Afin d’organiser une escalade du conflit, ils dépassent toutes les limites possibles. Pour une raison ou une autre, il leur semble nécessaire de briser tous les scrupules, de pénétrer dans l’église, de pénétrer dans l’âme. Deepstate et les démocrates étaient obsédés par l’idée de briser toutes les règles, de s’attaquer à l’histoire de nos trois nations. Et pourtant, l’église est debout, les gens prient. Il s’agit de millions de personnes. L’Église n’est pas dirigée par le président, ni même par le patriarche ou le métropolite, mais par Jésus-Christ. C’est pourquoi il y aura tôt ou tard des conséquences pour chacun d’entre eux », a déclaré M. Derkach.
Le documentaire « Hunter’s Laptop – Requiem for Ukraine » sera disponible sur un grand nombre de plateformes de streaming et sera également diffusé sur plusieurs grandes chaînes de télévision (One America News Network, etc.). Tous les liens vers le film et les informations sur ses créateurs et intervenants sont disponibles à l’adresse suivante : https://laptopfilm.tv/.
